Cette deuxième partie se concentre sur l’idée de ce que nous consommons, au sens large : ce qui est artificiel, malsain ou simplement présent dans notre quotidien sans que nous y prêtions attention. Le plastique, sous une forme plus liquide, renvoie ici à tout ce que l’on ingère symboliquement ou réellement, et à l’impact que cela peut avoir sur nos corps, nos pensées et notre manière de vivre.

Cette image pose la question de la place de ces matières dans notre intimité, de ce qu’elles provoquent en nous, et de la façon dont cette artificialité finit par s’introduire jusque dans nos gestes les plus ordinaires.
Mariah
© Sarah Rolland  
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